Le document présente l'évolution au cours du temps des quantités de VIH et d'anticorps spécifiques anti-VIH chez un individu contaminé.
La transcriptase inverse
Des LT4 sont incubés soit avec des anticorps anti-CD4 spécifiques soit avec des anticorps non spécifiques de CD4. Puis on les met en présence du VIH. On obtient les résultats suivants :
La chute du nombre de LT4
La mise en relation des courbes permet de montrer que
Lors d'une infection par le VIH du SIDA, on observe
Parmi les cellules suivantes, lesquelles sont nécessairement impliquées dans une réponse immunitaire acquise
Les plasmocytes dérivent
Les lymphocytes T4
Les lymphocytes B
Les anticorps
Le complexe immun est formé par l'association
On injecte de l'interleukine (IL) à un organisme et on mesure le nombre de lymphocytes.
On réalise un test immunologique en plaçant dans le puits central un mélange d'antigènes, et dans les puits latéraux des sérums contenant des anticorps. Les complexes immuns sont rendus visibles par coloration et apparaissent sous forme d'arcs de précipitation.A partir des résultats obtenus, on peut affirmer que
Des lymphocytes B et T sensibilisés (= ayant déjà été en contact avec l'antigène Z soluble) sont placés dans une chambre de culture de Marbrook (figure 1). On évalue le nombre de cellules sécrétrices d'anticorps en fonction des situations expérimentales (figure 2).
On étudie les propriétés du sérum d'animaux immunisés par une Bactérie.
Grâce à des prélèvements de rate, on évalue le nombre de plasmocytes d'une Souris après injection de globules rouges de mouton (GRM). Une première injection est réalisée au temps 0, une deuxième injection, identique, au temps 30.
De l'absence de production d'anticorps anti-Salmonelle (1ère colonne), on peut déduire que
Les antitoxines tétaniques sont des anticorps anti-toxine tétanique